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| Ventes aux enchères | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
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| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 22 Oct - 18:32 | |
| ... même toilette, même visage ... Bravo, Vivelaqueen !!! Vous semblez avoir mis dans le mille ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Jeu 31 Oct - 17:28 | |
| voici mes dernières trouvailles sur une tradition familiale, rouet de table portant l'inscription "1794 MARIE THERESE CHARLOTTE AU TEMPLE" qui aurait été acquis à la grand-mère du DUC D'ANJOU il y a de nombreuses années, la dame ayant des besoins financiers importants. Voici ce qui reste d'une paire de chenets, certainement d'époque NAPOLEON III, avec deux jolis profils, l'un MARIE ANTOINETTE (d'après médailles) et l'autre peut-être MADAME DE LAMBALLE, voire MADAME ROYALE !!!!! |
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| Sujet: Re: Ventes aux enchères Jeu 31 Oct - 17:31 | |
| j'ai quelques soucis à mettre les photos ce soir sur le BOUDOIR - encore les problèmes de logiciels !!! bonne soirée.... je vais mettre RIGNON au dodo - de plus j'ai des revendications de la part de ma patronne à pattes !!!!! MARIE ANTOINETTE |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Jeu 31 Oct - 17:52 | |
| Vous croyez vraiment que la pauvre Madame Royale avait eu droit à un rouet au Temple ? Surtout s'il date de 1794. |
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| Sujet: Re: Ventes aux enchères Ven 1 Nov - 11:10 | |
| Chère REINETTE dans le nouveau livre VERSAILLES que nous avons présentés la semaine dernière, se trouve un rouet de table, en laiton !!! ou bronze appartenant à CARNAVALET qui aurait été le rouet de la REINE au TEMPLE !!!!! alors, où se trouve la Vérité !!!!!!!! c'est un objet d'époque tout simple et comme je le dis souvent "il n'y a que la foi qui sauve" !!!!!!surtout avec les traditions familiales !!!!! il a trouvé sa place et on a l'impression qu'il a toujours été présent en ma demeure .... MARIE ANTOINETTE |
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| Sujet: Re: Ventes aux enchères Ven 1 Nov - 12:13 | |
| Ce que le XVIIIème appelle bronze est, dans le vocabulaire de la fonderie moderne, ce qu'on appelle du laiton. Composé principalement du zinc, il a une couleur plus jaune, lorsque le bronze, composé avec de l'étain, est beaucoup plus rose. Les bronzes antiques sont de vrais bronze par exemple. Je ne sais pas ce qu'il en est à la Renaissance ... |
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| Sujet: Re: Ventes aux enchères Ven 1 Nov - 12:17 | |
| c'est le commissaire priseur de FONTAINEBLEAU qui vend la mèche au prix de départ entre 2.000 et 3.000 euros - je vais vérifier si c'était cette même étude qui avait fait la vente il y a 2/3 ans et quel était le prix avec la lettre !!!! sinon je le contacterai étant cliente de cette étude. MARIE ANTOINETTE |
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| Sujet: Re: Ventes aux enchères Lun 4 Nov - 17:00 | |
| On m'a donné le très beau catalogue de la vente aux enchères du 31 octobre 2013 organisée par la maison Couteau Bégarie. Je suis surpris que l'on en a peu parlé sur le forum sauf Marie Antoinette pourtant il y avait énormement d'objets relatifs à la famille royale jusqu'à Charles X! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 5 Nov - 13:09 | |
| cher Ami,
effectivement cette vente mercredi dernier comportait un département important sur la FAMILLE ROYALE .....il n'y avait pas de pièce exceptionnelle, des objets, gravures classiques que l'on trouve souvent, et les prix d'estimation étaient fort élevés.
je sais par GERARD OUSSET, présent à cette vente, que les acheteurs éventuels étaient réservés et lents à enchérir, plus d'une fois, le commissaire priseur a dû baisser les enchères pour obtenir une vente !!!!!!! j'avais fait remarquer sur le boudoir, que certaines pièces prétendant être des portraits de la Reine n'avaient aucun ressemblance , sans oublier les souvenirs par traditions familiales très suspects !!!!!!
je vais consulter les résultats sur INTERNET pour avoir l'ambiance finale de cette vente.
Amicalement MARIE ANTOINETTE |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 5 Nov - 16:55 | |
| cette vente en consultant le site COUTEAU BEGARIE a fait apparaitre l'obligation de baisser les prix de départ et pour certains lots........c'étaient les soldes !!!!!!!!! d'autres ont été retirés faute d'acheteurs, comme le morceau de ruban de l'ordre du saint esprit porté par le Roi !!!!! le tableau dit "MARIE ANTOINETTE" que nous avions d'un avis commun confirmé n'être pas la Reine a été retiré !!!! je n'ai regardé que les numéros concernant la famille royale et je pense que l'étude a été déçue de la modicité des résultats. les pigeons volaient...... trop haut ce mercredi. MARIE ANTOINETTE |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 23 Nov - 16:59 | |
| LUNDI 2 DECEMBRE 2013 - Drouot salle 14 - exposition le samedi 30 de 11 H à 18 H 00 - le Lundi 2 de 11 H à 12 H 00 ETUDE COUTEAU BEGARIE Vente papiers peints, étoffes, costumes et haute couture + garde robe de la Marquise de SEGUR à divers outre les étoffes d'époque, il y a des costumes d'hommes et de dames XVIII° sans oublier les gilets !!!!!!! belle qualité, prix intéressant !!!! il en est de même pour l'époque NAPOLEON III vous pouvez voir le catalogue sur Internet - belle photos - même juste pour le regard !!!!! MARIE ANTOINETTE |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Dim 24 Nov - 16:41 | |
| dimanche 17 Novembre à FONTAINEBLEAU chez l'ETUDE OSENAT dans une vente consacrée à l'empire la mèche de cheveux de MARIE ANTOINETTE estimée entre 2.000 ET 3.000 EUROS à Fait............ 7.000 EUROS + frais sans la lettre qui, lors de la première vente l'accompagnait. une miniature du ROI LOUIS XVI lors de cette vente a été retirée !!!!! MARIE ANTOINETTE |
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| Sujet: Re: Ventes aux enchères Jeu 28 Nov - 6:52 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Jeu 28 Nov - 9:03 | |
| L'expression, les traits du visage sont rendus tout en suavité. Les oeuvres de Mme Lebrun étaient un miroir qui magnifiait Marie-Antoinette . Pas étonnant qu'elle fut son peintre favori ! C'est fou, ce nacré des ongles !
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Jeu 28 Nov - 10:11 | |
| J'adore absolument ce portrait...mais toutes ses versions ne m'émeuvent pas autant que celle dont je me suis servi du visage pour l'image d'accueil. La version de chez Christie's a un regard plus vide , c'est dommage... Par contre c'est vrai que les ongles sont un ravissement ! La pire version a été choisie (pourquoi??? ) par Madame Lever pour son petit livre illustré, Marie-Antoinette, la dernière Reine... Bien à vous. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Jeu 28 Nov - 11:03 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Jeu 28 Nov - 11:07 | |
| Mon ami était à la vente chez Christie's pour acheter le tableau. Malgré l'enveloppe conséquente cette merveille est partie au téléphone pour 49.000 E sans les frais. A ce taux je n'ai pas de regrets de n'avoir pu l'acquerir. |
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| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 7 Déc - 10:30 | |
| En vente le 18 décembre 2013, chez Boisgirard, ces 5 dessins de Vivant-Denon, représentant (entre autres) Danton, Hébert, Fouquier-Tinville et Carrier.Estimation : 2.000 / 3.000 EUR. Ces dessins sont magnifiques : je les aurais bien acheté, mais je préfère me réserver pour Marie-Antoinette et Louis XVI. Bel ensemble de cinq dessins par Dominique-Vivant DENON, dit VIVANT-DENON (Givry 1747 – Paris 1826) Émigré à Venise, Vivant-Denon en fut chassé en 1793 après avoir été accusé d’espionnage pour le compte de la Convention. De retour en France, il fut réhabilité grâce à la protection de David. D’un réel intérêt documentaire, ces portraits de condamnés politiques ont été croqués par Vivant-Denon sur le vif, au moment de leur jugement, ou sur la charrette les menant à l’échafaud. Il a retravaillé plusieurs fois cet ensemble qu’il destinait probablement à la publication. Une série de portraits similaires fut dispersée à Londres en 1961 (coll. Lady Shelley-Rolls, Christie’s, 5 décembre 1961, n° 68-74) ; on les retrouve aujourd’hui au Metropolitan Museum et au Musée du Louvre. Un autre ensemble fut vendu par la galerie Arnoldi-Livie à Munich en 1997. Au milieu du XIXe, Jules Porreau grava pour Vignères, sur des planches individuelles, les portraits de Dantan, Gobel, Hébert, Fouquier-Tinville, Chaumette, Carrier et enfin Cadoudal. a. « Portraits de Gobel et Chaumette vus de profil gauche » Plume et lavis brun sur papier chamois Signé en bas à droite ‘V Denon’ 19 x 19 cm Annoté à la pierre noire en haut ‘Gobel. Archevêque de Paris’, en bas ‘Chaumette Procureur de la Commune - tous deux sur la charrette - Prairial an 2’ Cordeliers et procureur de la Commune, Pierre-Gaspard Chaumette (1763-1794) fut jugé aux côtés d’Hébert, et guillotiné le 12 avril 1794. Evêque constitutionnel de Paris à partir de 1791, Jean-Baptiste-Joseph Gobel (1727-1794) fut arrêté et guillotiné pour son implication aux côté d’Hébert et Chaumette. Une autre version de ces portraits est conservée au Metropolitan Museum. b. « Portrait de profil droit assis de Fouquier-Tinville » Pierre noire et rehauts de blanc (piqûres) sur papier préparé chamois à la pierre noire Annoté en bas ‘Fouquier-Tainville pendant son jugement’ 18,8 x 12,3 cm Antoine Fouquier-Tinville (1746-1795) fut l’un des plus charismatiques ‘accusateurs publics’ du Tribunal révolutionnaire. Après avoir requis la mort de plus de 2000 personnes (dont Danton, Hébert, mais aussi Marie-Antoinette ou Charlotte Corday), et au terme de quarante-cinq jours de procès, il fut exécuté le 7 mai 1795. L’annotation sur la version du Louvre présente la même particularité orthographique : ‘Tainville’, au lieu de ‘Tinville’. c. « Deux portraits de Carrier (l’un de profil droit et l’autre de face) » Plume, lavis brun et rehauts de blanc sur papier préparé chamois Annoté en bas à la pierre noire ‘Carrier pendant son procès’ 12,5 x 18,3 cm Impitoyable acteur de la Terreur à Nantes, le député du Cantal Jean-Baptiste Carrier proposait le 9 mars 1793 « l’établissement d’un tribunal révolutionnaire ». Il y fut lui-même jugé, puis guillotiné en place de Grève le 26 Frimaire an III (16 décembre 1794). La version conservée au Louvre présente également son portrait de face et de profil. d. « Deux portraits de Georges Cadoudal vu de trois-quarts » Plume et lavis brun, annoté en bas à la pierre noire ‘Georges Cadoudal’ 13 x 18 cm Fameux général chouan, Georges Cadoudal est ici associé aux figures des révolutionnaires. Après deux conspirations contre Bonaparte, il fut arrêté en mars 1804, et guillotiné le 12 juin de la même année. Vivant-Denon était alors directeur du Musée Napoléon. Il représente Cadoudal au Tribunal, puis sur la charrette. Absent de la série anglaise, Cadoudal était représenté dans celle qui fut vendue à Munich chez Arnoldi-Livie. e. « Portrait en buste de Danton vu de face et Hébert vu de profil » 18 x 12,3 cm Pierre noire et encre brune (piqûres) sur papier préparé chamois Annoté en bas à la pierre noire ‘Danton au tribunal révolutionnaire et Hébert ou le père Duchesne sur la charrette. Hébert pamphlétaire.’ « Soyons terrible pour dispenser le peuple de l’être », s’était exclamé Danton lors des débats entourant la création du Tribunal révolutionnaire. Le 16 germinal an II (5 avril 1794), un an après son instauration, Danton lui-même y était condamné à mort. Révolutionnaire autrement plus radical, Hébert animait le virulent journal du Père Duchesne. Il fut jugé entre le 21 et le 24 mars 1794, puis également guillotiné. La version du Louvre présente Danton, Hébert, et un troisième personnage, ‘inconnu sur la même charrette’. Beaux cadres en bois polychrome à décor de feuilles d’eau et perles de la fin du XVIIIe siècle Les cinq : 2 000/3 000 € Bibliographie : - P. ROSEMBERG, M.-A. DUPUY-VACHEY, Dominique-Vivant Denon : L’œil de Napoléon, cat. d’exposition, Paris : Musée du Louvre, 20 octobre 1999 – 17 janvier 2000, Paris, 1999 - M.-A. DUPUY-VACHEY, « Quelques têtes de révolutionnaires par Denon (1747-1825) » in Revue du Louvre, Paris, 2003, voir pour comparaison pp. 53-59 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 7 Déc - 13:06 | |
| Celui qui me dégoûte le plus c'est Fouquier-Tinville. Quelle horreur!! Carrier a l'air con. Danton fait pitié. Et Hébert... ma foi je ne sais pas pourquoi, mais je ne me le représentais pas du tout ainsi ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 7 Déc - 15:26 | |
| merci pour le document représentant ces "montres" à conserver dans nos archives !!!! une assemblée de sales gueules, parfaite pour les seconds couteaux au Cinéma. personnellement je n'en donnerai pas un centime d'euro et les accepterai en cadeau, pour les revendre immédiatement et acheter "MARIE ANTOINETTE" !!!!! sinon "EN ENFER AUX TOILETTES" MARIE ANTOINETTE |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 7 Déc - 19:55 | |
| On pourrait servir pour s`essuyer Fleurdelys |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Jeu 12 Déc - 16:46 | |
| Vendredi 13 Décembre - vente à DROUOT par l'ETUDE MILLON de cette clé qui serait : "exceptionnelle clé en fer forgé et partiellement dorée dite CLEF DE MARIAGE l'anneau de forme ovale est à décor de feuilles d'olivier (sagesse et paix) avec, en son centre, les initiales de MARIE ANTOINETTE encadrées de trois fleurs de lys. Bossette en forme de globe à fond d'or et à décor de fleur ouverte (amour) Tige bénarde ornée d'un enroulement en spirale simulant une guirlande de feuillage. Panneton à un grand et à quatre petits rouets (pouvant simuler l'âge de la Reine, 14 ans lors de son mariage) Cette clé est présentée dans son écrin en galuchat L 15 cm France 1770 Estimation 12.000 à 15.000 euros une clé avec le chiffre de MARIE ANTOINETTE se trouve dans une collection du Musée LE SECQ DES TOURNELLES A ROUEN. le prix est important,.... ce n'est pas un "pass" permettant d'ouvrir toutes les portes du château de versailles il serait intéressant de rechercher dans les archives si ce présent était d'usage pour les mariages à la Cour et surtout son utilité !!!!! j'appelle au secours les spécialistes !!!! cette pièce n'entrera pas dans mes collections, je n'ai pas les moyens financiers et cet objet ne me fait pas rêver. amicalement MARIE ANTOINETTE |
| | | pimprenelle
Nombre de messages : 40594 Date d'inscription : 23/05/2007
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 28 Jan - 8:56 | |
| De quoi rêver un peu... Paris, le 27 janvier 2014, Art Media Agency (AMA)
Sotheby’s met en vente le 25 mars 2014 à Paris la collection d’art du XVIIIe siècle de la vicomtesse de Courval.
La vacation dispersera 118 lots composés de scènes galantes, de portraits de femmes, de paysages champêtres et de natures mortes symptomatiques de l’art du Siècle des Lumières. Parmi les lots à retenir, une paire de vases en céladon gaufré (vers 1770) de l’époque Qianlong estimée entre 300 et 500.000 €, une scène galante de Nicolas Lancret, élève de François Watteau, Les agréments de la Campagne (XVIIIe siècle) estimée entre 150 et 200.000 € ou un portrait en fusain d’Elizabeth-Louise Vigée Le Brun, Mrs Spencer Perceval (1804) estimé entre 120 et 150.000 €.
La vicomtesse de Courval, née Mary Ray en 1835, appartient à la bourgeoisie new-yorkaise francophile. Après de nombreux voyages, elle s’installe à Paris et épouse Arthur Dubois de Courval. Elle se passionne pour les ventes aux enchères et entreprend une grande collection d’art du XVIIIe qui sera poursuivie par ses fils. L’exposition de la vente aura lieu du 20 au 24 mars.http://www.artmediaagency.com/87557/le-raffinement-du-xviiie-en-vente-chez-sothebys-avec-la-collection-de-la-vicomtesse-de-courval/ Les tableaux sont visibles sur le site Sotheby's PRÉSENTATION
Sotheby’s Paris a le privilège de mettre en vente cette magnifique collection constituée à la fin du XIXe siècle par la vicomtesse de Courval, née Mary Ray (1835-1902). Cette grande amatrice des arts, qui fréquentait assidument les ventes aux enchères parisiennes de la fin du XIXe siècle, assembla de précieuses collections qu’elle présentait dans son magnifique hôtel particulier situé derrière les Champs-Élysées, au 6 rue Paul Baudry dans le huitième arrondissement. Les tableaux et pièces de mobilier sont à l’image du goût exigeant d’une grande famille de l’aristocratie française. Scènes galantes, portraits de femme, paysages champêtres ou natures mortes sont autant d’œuvres illustrant le siècle des Lumières.
Le grand salon était aussi orné d’importants objets d’art comme cette impressionnante paire de grands vases chinois en porcelaine céladon à montures de bronze doré d’époque Louis XV, et cet exceptionnel cartel en bronze doré Louis XV par Baillon.
Cette vente est ainsi l’occasion pour les amateurs de découvrir un exemple du goût de ces grandes familles françaises, évoluant sur plusieurs générations. Le raffinement et l’élégance du XVIIIe siècle, la gaieté et la féminité de son esthétique constituent l’essence de cet ensemble rare.http://www.sothebys.com/fr/auctions/2014/collection-vicomtesse-courval-pf1430.html _________________ rien que la mort peut me faire cesser de vous aimer
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| | | pimprenelle
Nombre de messages : 40594 Date d'inscription : 23/05/2007
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mer 29 Jan - 9:40 | |
| On reparle de ce magnifique collier... Rappel: Ce collier a été conçu en 1849, à l'occasion du mariage des Sutherland-Leveson-Gower. Les perles qui le composent avaient été confiées par Marie-Antoinette elle-même à Lady Sutherland (Elisabeth Leveson-Gower). Celle-ci avait aidé le roi louis XVI, époux de Marie-Antoinette, et sa famille, à s'échapper de France le 20 juin 1791.
D'après Raymond Sancroft-Baker, directeur du département bijoux de Christie's à Londres, "offrir des bijoux ayant appartenu à Marie-Antoinette est un évènement rare et exceptionnel surtout lorsqu'il s'agit d'une pièce jamais vue auparavant".... mais surtout de la reine: The extraordinary story behind the £1m auction of Marie Antoinette's pearlsShe was 38 and as lively and pretty as ever, with large brown eyes, a high forehead and an elegant neck that was made to show off the jewels that had been showered on her as Queen of France.
Even as the infamous Marie Antoinette was held under arrest in Paris in 1793 with her husband, King Louis XVI, she retained her haughtiness, her sense of command - as well as secretly a few of the diamonds and pearls she loved. France was in political turmoil, the mob ruling the streets, the monarchy tottering and almost dead. The royal family had tried to flee abroad to safety and been brought back in ignominy.
Now they were lodged in a medieval fortress known as the Temple, in the east of Paris, the master and mistress of Versailles and myriad other glittering palaces and chateaux restricted to just two floors in the tower. The situation appeared desperate. Outside in the streets their courtiers were being seized, summarily tried, and then executed by the blade of the machine designed by Dr Guillotin, which had been set up in a public square. The king, who had been depressed and inert throughout the previous two years of conflict, saw little hope. Soon, he feared, the mob would come for them. But his queen was still plotting their escape. Daughter of an empress and sister of an emperor, she had secretly been courting her relations overseas to come to her rescue. A German army was already on its way. Soon they would be free and back on their thrones, she believed. One of the few visitors she was allowed to see was the wife of the British ambassador, the Lady Elizabeth Leveson-Gower, the future Countess of Sutherland. Lady Elizabeth had already proved herself a useful ally. Acting clandestinely, she had furnished disguises for the royal family's abortive flight from Paris. And now she attended the queen in her hour of need, bringing linen and clothes for the family that had once had riches beyond counting, but were now reduced to begging.
The queen had a request for her friend. Britain had broken off relations with France and the ambassador was returning to London with his wife. With diplomatic immunity, she would travel unmolested by the republican guards ruthlessly policing France. Into Lady Elizabeth's hands, Marie Antoinette pressed two small bags, one with diamonds, the other with pearls. They were to be kept until the queen could come to claim them. That moment never came. A little over a year later, to a savage and gleeful shout of acclaim in a Paris square, Marie Antoinette was guillotined before the people she had once ruled.
Her jewels, however, survived thanks to Lady Elizabeth's furtive mission, and next week they go on sale for the first time ever. At Christie's in London, 21 tear-shaped pearls, suspended from a chain of diamonds, interlaced around a collar of rubies, are expected to fetch around £400,000. But they could sell for a million or more. Jewellery from Marie Antoinette's fabulous collection - amassed, it should be said, along with many other extravagances, while most of her subjects starved - rarely surfaces. Eight years ago, a strand of pearls believed to have been hers, was sold for $1.5million (£750,000) in Geneva, the highest price ever paid for a string of natural pearls. The jewels now on sale have remained in the Sutherland family since they were spirited out of France. They were fashioned into the present necklace for the bride of the countess's grandson when he married in 1849. The provenance depends on the Sutherland family legend being true, but Christie's are satisfied. A director said: "It is exceptionally rare to be able to offer jewels that belonged to Marie Antoinette, and which are completely fresh to the market." Their appearance now is fitting, because it comes at a time when historians are re-evaluating the role of Marie Antoinette.
She has usually been portrayed as the giddy girl from Austria who, at 14, married the crown prince of France and lived a life of excessive luxury, turning her nose up and her eyes away from the terrible conditions of ordinary people. She famously built an imitation village in the grounds of Versailles and played at being a simple milk maid among perfumed sheep and goats. The Sevres porcelain bowls she used were said to be cast in the shape of her own ample breasts. And as for politics, when told that the people had no bread she was supposed to have uttered - in perhaps the only words that people ever remember about her - "Then let them eat cake." It is now agreed she never said any such thing. But she was also a much more influential figure in the king's party than has previously been recognised.
Her relationship with her husband was always a strange one, starting with their sex life which is still shrouded in mystery. Some historians believe they were both technically virgins many years after their marriage, because they had never been taught what to do in bed. It was eight years before their first child was born. Those French citizens who came to loathe her, spread stories that she preferred women and she was mocked for her close friendship with one in particular, the blonde and highly strung, Princesse de Lamballe. Whether that relationship was innocent or not, the poor princess paid for her association with the queen in the most terrible way. She was one of the first victims of the Terror that seized France. Brought before a makeshift court, she was condemned and hacked to death on the spot. Her body was stripped and mutilated and her head taken on a pike to the Temple to taunt the imprisoned queen. Marie Antoinette was the focus of much of the anger of the French people.
Another of her necklaces, a diamond one and worth a small fortune, was at the centre of a public scandal in 1785 when she accused a cardinal of stealing it. Tales of her extravagance spread and sullied not only her reputation but that of the Crown. According to Napoleon, the French Revolution really began with the Diamond Necklace Affair. She was a hate figure, but never really seen as being a serious political figure. But research now shows that with the king often in a state of collapse as events ran out of control around him, she was the driving force in trying to save his crown and hers. It was she who planned the flight from Paris, from which they were pulled back just short of the border with what is now Germany. She too made the secret connections to try and bring the political and military forces of Austria, Prussia, Britain and Russia to suppress the revolution that was engulfing France. She failed, but she failed as a genuine player, not as the silly child she was often seen to be. And she died bravely despite the indignities heaped on her.
Whereas her husband had gone to the guillotine in a closed carriage, stepping out from it at the scaffold, she was hauled to her death in an open tumbril on October 16, 1793, through jeering crowds and with her arms tied behind her back. Her last words were to beg the pardon of her executioner for accidentally stepping on his foot. It was a humble end and not the one she will be remembered for. It was fabulous pearls and diamonds such as those coming under the hammer next week, that would be her real epitaph.http://www.dailymail.co.uk/femail/article-499718/The-extraordinary-story-1m-auction-Marie-Antoinettes-pearls.html _________________ rien que la mort peut me faire cesser de vous aimer
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