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| La Comtesse Jeanne du Barry | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Mar 20 Sep - 9:40 | |
| Ah, je n'ai jamais aimé M. de Voltaire et tous ces philosophes ! Cela sent trop bien le souffre ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Mar 20 Sep - 14:29 | |
| C'était en septembre 1774, et comme par hasard, elle écrit à son cher Horace Walpole . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 7 Nov - 20:32 | |
| Je viens de finir la lecture du livre de Jeanine Huas: Madame Du Barry. C'est une trés bonne biographie mais de lecture assez difficile. J'y ai appris pleins de petites anecdotes. On est bien loin de la Du Barry de Coppola (brune en plus!!!!).J'ai regretté qu'il y avait peu de descriptions sur son hôtel à Versailles. Même si l'auteur parle longuement de Louveciennes, on y lit en fait peu de descriptions des lieux notamment sur le Pavillon de musique!!!!!!! Mais, je conseille vivement ce livre! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 7 Nov - 20:40 | |
| Je trouve que la lecture ne fut pas simple pour une première biographie sur Madame Du Barry (ce qui fut mon cas). Il y a beaucoup de noms de personnages et beaucoup d'événements sociaux et politiques peu importants qui prennent des longueurs. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Mar 8 Nov - 13:32 | |
| Cher Ami, j'aime beaucoup MADAME DU BARRY et possède plusieurs biographies sur cette dame, étant donné son "règne" en présence de notre Dauphine !!!! je trouve que la biographie que vous venez de lire, est très complète et facile à lire pour comprendre le panier de crabes qu'était VERSAILLES et l'étude de cette fin de règne !!!!!!!! l'auteur a fait de nombreuses recherches et a pris le temps pour rédiger son ouvrage !!!!!! Amicalement MARIE ANTOINETTE |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 1:34 | |
| Une "anecdote" que j'ai apprise récemment : lors de son procès, Madame du Barry n'a pas hésité à renier Brissac afin de tenter de sauver sa peau. Dans un billet adressé à Fouquier-Tinville à la veille de son procès, elle prétend avoir eu des "liaisons forcées" avec Brissac !(Jeanine de Huas, "Madame du Barry"). La reine a quand même été beaucoup plus digne dans les mêmes circonstances... A noter également dans le même ouvrage que lors de l'achat de Saint-Cloud, la reine s'est rapprochée de Madame du Barry afin que cette dernière use de ses relations pour faire pression sur le duc d'Orléans et obtenir que celui-ci baisse son prix ! Amusant je trouve... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 9:21 | |
| - nebmertouf a écrit:
- Eh bien je dois dire que ma mémoire n'est plus ce qu'elle était et je m'en excuse. Tout ce que je me souviens c'est que le conférencier a dit qu'il y avait très peu de chance que ce portrait provienne de cet appartement, le Roi Louis XV n'aurait pas admis que son rival trône dans les appartements de sa favorite.
Louis XV était déjà mort quand Mme du Barry et le duc de Brissac commencent à s'aimer . C'est au duc d'Aiguillon que Jeanne offrait ses faveurs en même temps qu'elle était la maîtresse en titre du Roi . Elle lui obtient du reste le porte-feuille des Affaires étrangères et cette nomination au ministère est joyeusement fêtée lors d'un dîner à Luciennes . Après la mort du Roi, c'est l'exil à Pont-aux-Dames, puis le retour à Luciennes et, là encore, une courte liaison avec lord Seymour . C'est ce dernier qui cède la place toute chaude dans le lit de la belle à Hercule Timoléon de Cossé-Brissac . Cette nouvelle idylle ne ressemblera en rien aux précédentes amours scandaleuses de la comtesse du Barry. C'est une relation tendrement maritale qui durera jusqu'à la Révolution et le massacre du duc, en 92 . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 9:42 | |
| - Citation :
- Une "anecdote" que j'ai apprise récemment : lors de son procès, Madame du Barry n'a pas hésité à renier Brissac afin de tenter de sauver sa peau. Dans un billet adressé à Fouquier-Tinville à la veille de son procès, elle prétend avoir eu des "liaisons forcées" avec Brissac !(Jeanine de Huas, "Madame du Barry"). La reine a quand même été beaucoup plus digne dans les mêmes circonstances...
Quand bien même ! Qui lui jetterait la pierre ? Ce n'était pas faire beaucoup de mal à Brissac déjà mort que de feindre de renier leur amour . Elle était terrorisée, épouvantée, liquéfiée d'horreur par le spectre de la guillotine, prête à dire ou faire n'importe quoi pour sauver sa vie, que dis-je, pour un simple sursis ! Le matin même de son exécution, espérant acheter sa grâce, au bourreau qui vient la chercher à la Conciergerie, au juge, au substitut de la République, elle déballe encore tout ce qui peut lui venir à l'esprit, les coins et recoins de Luciennes où elle a enfoui ses objets les plus précieux ............. Peut-on reprocher à une simple grisette de n'avoir pas marché au supplice avec le courage et la dignité de Marie-Antoinette? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 11:27 | |
| - diphildor a écrit:
-
- Citation :
Peut-on reprocher à une simple grisette de n'avoir pas marché au supplice avec le courage et la dignité de Marie-Antoinette? Je voudrais que chacun des biographes de J. du B. inscrive en première page de son livre cette phrase qui dit tout! Pauvre, pauvre Jeanne, qui ne comprenait rien à ce qui lui arrivait . " Mes amis .... sauvez-moi .... je n'ai jamais fait de mal à personne ... au nom du Ciel, sauvez-moi ! "... et son dérisoire : " Qu'on me laisse la vie, je donne tous mes biens à la Nation ! " |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 11:58 | |
| 17 frimaire.
Madame Dubarry a été condamnée hier au soir et exécutée ce matin. Nous étions, suivant l'ordre, à neuf heures à la maison de justice, mais il a fallu espérer parce que la condamnée était enfermée avec le citoyen Denizot, juge, et le citoyen Royer, substitut de l'accusateur, qui enregistraient des révélations. A dix heures, les citoyens Vandenyver, qui étaient trois, le père et les deux fils, tous complices de madame Dubarry, et les citoyens Bonnardot et Joseph Bruniot, falsificateurs d'assignats, condamnés par le tribunal criminel, ont été amenés. Pendant qu'on arrangeait les susdits, madame Dubarry est arrivée dans l'avant-greffe. Elle marchait en s'appuyant contre les murs, car ses jambes fléchissaient sous elle. Il y avait une vingtaine d'années que je ne l'avais vue, et je ne l'aurais pas reconnue ; elle était aussi défigurée par l'embonpoint que par la peine et l'angoisse. Quand elle m'aperçut derrière les condamnés déjà liés, elle jeta un grand Ah ! en se cachant les yeux sous son mouchoir, et elle se mit à genoux en criant Je ne veux pas, je ne veux pas. Presque aussitôt elle s'est relevée et 'elle a dit Où sont les juges, je n'ai pas tout déclaré, je n'ai pas tout avoué. Les citoyens Denizot et Royer étaient chez Richard, avec deux ou trois députés qui avaient été curieux de voir passer la pauvre femme ; ils arrivèrent presque aussitôt, mais ils refusèrent de rentrer dans le greffe et la sommèrent de parler sur-le-champ. Elle déclara alors quelques objets précieux qui étaient cachés dans sa maison de Lucienne ou confiés a divers particuliers, mais elle s'interrompait à chaque instant pour se lamenter, et, à diverses reprises, elle battit la campagne comme si son esprit eût été égaré par la fièvre. Le citoyen Royer, qui tenait la plume lui disait alors Est-ce là tout? Et il essayait de lui faire signer le procès-verbal mais elle repoussait le papier, elle assurait qu'elle avait quelque chose à ajouter ; on voyait qu'elle cherchait dans sa mémoire. Elle croyait peut-être qu'en raison des sommes immenses qu'elle abandonnait à la confiscation on lui accorderait sa grâce, et jamais, dans son heureux temps, elle n'avait si ardemment souhaité les richesses que maintenant qu'elle les sacrifiait pour gagner quelques minutes sur la mort. Enfin, les citoyens Denizot et Royer se levèrent et lui dirent très durement qu'il fallait se soumettre aux décrets de la justice, et racheter par son courage l'ignominie de sa vie passée. Elle est demeurée comme anéantie sur sa chaise. Un aide s'est approché et a cru le moment bon pour lui couper les cheveux, mais au premier coup de ciseaux elle s'est relevée et l'a repoussé il a fallu que deux autres aides l'aidassent à la lier. Alors elle s'est laissé faire, seulement elle pleurait comme je n'ai jamais vu pleurer.
Il y avait sur le quai autant de monde que pour la sortie de la Reine et des députés girondins. On criait ferme, mais les cris de la victime s'élevaient toujours dessus ceux du peuple. Nous n'avons pas fait cent pas qu'on n'a plus entendu qu'elle. Elle disait Bons citoyens délivrez-moi, je suis innocente. Je suis du peuple comme vous, bons citoyens, ne me laissez pas mourir. On ne bougeait pas, mais les citoyens et citoyennes baissaient la tête et ne lui jetaient plus d'injures. Jamais je n'avais vu le peuple si allangui. Jacot y perdait son temps et ses grimaces. Je ne reconnaissais plus les gens de guillotine, et pourtant c'étaient bien les mêmes que j'avais vu si durs pour le citoyen Bailly, si courageux. Par moments elle s'arrêtait de crier; de violette qu'était sa face on la voyait devenir toute blanche. Elle s'abandonnait aux cahots de la charrette comme étant morte; ils la jetaient de ci, de là; dix fois elle fût tombée si mon fils ne l'eût soutenue. A des instants elle s'adressait à moi, me disant, Non, n'est-ce pas, que vous ne me ferez pas mourir? Ses dents claquaient et la voix venait de sa gorge, rauque et saccadée. Moi, je me sentais amolli à pleurer comme les autres et plus amèrement qu'aucun, car la vue de cette mal- heureuse femme me rappelait notre jeunesse qui ne nous prédisait guère un tel destin, et son digne père, dont la sollicitude n'avait pu écarter d'elle, ni de si funestes grandeurs, ni une si terrible chute. Malgré tous mes efforts pour surmonter mon émotion, jamais le trajet ne m'avait autant duré. Une fois je lui conseillai de prier, que cela la reconforterait certainement. Les prières ne lui revinrent plus en mémoire elle disait Mon Dieu mon Dieu mon Dieu sans trouver autre chose. Alors elle recommençait à implorer les citoyens. L'ordre était qu'elle serait exécutée la dernière, mais quand je suis descendu, le citoyen huissier m'a dit de m'arranger pour le mieux. Comme en voyant la guillotine elle avait eu une défaillance, je dis de la faire monter de suite ; mais elle ne sentit pas plutôt les mains sur elle qu'elle reprit connaissance, et, quoique liée, elle repoussa les aides en criant Pas tout de suite ; encore un moment, messieurs les bourreaux, encore un moment, je vous en prie.
Ils l'ont entraînée, mais elle se débattit et essaya de les mordre. Elle était aussi forte que puissante, car, bien qu'ils fussent quatre, ils employèrent plus de trois minutes à la monter. Si elle ne les avait pas échauffés en les bousculant, je ne sais s'ils, en seraient venus à bout, tant ils étaient consternés. Le peuple de même nul ne soufflait mot, et beaucoup se sauvaient de tous côtés comme en déroute. Là-haut cela a recommencé, elle hurlait; on devait l'entendre par delà de la rivière elle était bien effrayante à regarder ; enfin ils sont parvenus à la boucler, et ce fut fait. Après, on a exécuté les autres.
18 frimaire.
Ce jour nous avons guillotiné Jean-Bapliste Noël, député des Vosges, hors la loi. Dans la route, il m'a demandé si c'était vrai que madame Dubarry avait eu si grand peur ; et, une autre fois, si on avait bien essuyé le couteau, parce qu'il ne convenait pas que le sang d'un républicain fût souillé par le sang d'une prostituée.
Journal de Charles-Henri Sanson, Sept générations d'exécuteurs. Mémoires des Sanson. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 12:21 | |
| Merci, cher Diphil, pour ce large extrait, très dur à lire ...
la vue de cette mal- heureuse femme me rappelait notre jeunesse qui ne nous prédisait guère un tel destin, et son digne père, dont la sollicitude n'avait pu écarter d'elle, ni de si funestes grandeurs, ni une si terrible chute.
Sanson connaissait donc Jeanne dans leur jeunesse ??? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 13:11 | |
| Ce récit de la fin de Madame Du Barry ne fait que mieux ressortir à quel point notre Reine a vécu, elle, ses derniers instants avec dignité et courage . Mais ne jettons pas le blâme sur la petite grisette . Il n'est pas facile de vivre ; il est tout aussi difficile de mourir et ce avec dignité... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 13:19 | |
| Il est remarquable que le plus grand nombre des nobles guillotinés restèrent dignes jusqu'au bout. Pour des gens habitués à un autre traitement, et à un laissé allez, à un art de vivre autrement plus rafiné, c'est assez édifiant je trouve.
Mais la reine a subit des avanies incroyables. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 14:08 | |
| Que disait cette lettre, au juste ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 14:20 | |
| Je ne me souviens pas que le billet salissait Brissac...
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 15:03 | |
| Peut-être faites-vous allusion à ce vol des bijoux de Jeanne, dans la nuit du 10 au 11 janvier 1791, à la faveur d'un séjour de la comtesse chez Brissac ? Il attira sur Mme du Barry l'attention et le ressentiment du grand public dont elle était pourtant, à ce moment-là, à peu près oubliée . On placarda partout Deux mille louis à gagner; diamants perdus, avec, par le menu, tous les détails fascinants de la prodigieuse quantité de joyaux de l'ancienne favorite ........ Il n'en fallait pas plus pour déchaîner cupidité, envie, jalousie, haine enfin ... Brissac lui-même se sentait presque responsable de la catastrophe puisqu'il écrit dans un codicille de son testament, le 11 août 1792 : Je la prie d'accepter ce faible gage de mes sentiments et de ma reconnaissance, dont je lui suis d'autant plus redevable que j'ai été la cause involontaire de la perte de ses diamants ..... etc ....
Parmi les chefs d'accusation portés contre Mme du Barry, il y a ses relations royalistes contre-révolutionnaires . Le nom de Brissac est mis en avant . Un certain Devrey, garçon perruquier promu chirurgien, prouvera que la Dubarry a passé la nuit à brûler des papiers le jour de la mort de Brissac; s'il ne le veut pas, Marcel, Moutier et Cavé, notables de la commune de Louveciennes, vous prouveront qu'il l'a dit . Marianne Labitte veuve Cottet, tapissière de son état, confirme . Je n'ai brûlé aucuns papiers, se défend Jeanne sans conviction . La veuve Cottet ajoute la fréquentation d'aristocrates émigrés .........
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 18:16 | |
| - Citation :
- Il est remarquable que le plus grand nombre des nobles guillotinés restèrent dignes jusqu'au bout.
Ils avaient à tenir leur rang, jusqu'au bout . Point de faiblesse ! Même Egalité, pleutre toute sa vie, a su montrer ce courage de la fin . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 18:19 | |
| Question de "structure", ou d'éducation, si l'on préfère! Il est des qualités que l'on ne développe qu'aux genoux de sa mère, vous diraient certains ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 18:22 | |
| ..... conditionnement atavique dès le berceau ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 18:23 | |
| Autrement dit! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 19:06 | |
| Précisement ! Cela aurait été tout a fait normal pour des aristocrates du XIXe siècle (ne jamais montrer de sentiments) mais le XVIIIe siècle était plus tôt carpe diem que stoïque... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 19:11 | |
| Tenir son rang, c'est observer en toute occasion un maintien irréprochable . La faiblesse, par excellence, est bannie . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 19:18 | |
| Ca c'est la définition du XIXe. La faiblesse est banie, certes, et ils étaient pour un bon nombre militaire, donc avaient eu leur bapteme du feu. Mais les femmes pas. Un bon nombre n'avaient pas montré de grandeur durant leur vie, ou simplement de relief, mais leur mort fut très digne. c'est ce décalage qui me surprend. Comment des gens qui ont toujours vécu dans une certaine douce molesse, se laissant vivre, ou ne connaissant que des difficultés de salon peuvent se reveler aussi forte face à l'adversité. (bon certains ont fuis, d'accord...) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 19:25 | |
| - Citation :
- Ca c'est la définition du XIXe. La faiblesse est banie, certes, et ils étaient pour un bon nombre militaire, donc avaient eu leur bapteme du feu. Mais les femmes pas.
Etonnant ! Donc, selon vous, la noblesse de l'Ancien Régime ne pensait pas avoir un rang à tenir ??? Elle s'estimait pourtant, par naissance, d'essence supérieure . Elle croyait par là avoir des droits mais aussi surtout des devoirs . Et que faites-vous donc de la notion de " déroger " ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry Lun 21 Nov - 19:39 | |
| C'est beaucoup plus ancien encore! Relisez Le Courtisan de Balthazar Castiglione ... |
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| Sujet: Re: La Comtesse Jeanne du Barry | |
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