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 Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon

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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeLun 13 Sep - 19:04

Famille de Bellême

La famille de Bellême est une famille seigneuriale de Normandie et du Maine qui vécut du Xe au XIIe siècle.


Une ascension fulgurante


Comme le lignage des Tosny, l'historien Lucien Musset supposa une origine franque chez cette famille. L'ancêtre des Bellême, Yves Ier, pourrait effectivement être un certain Yves de Creil, seigneur établi sur les rives de l'Oise au Xe siècle. À la suite d'une suggestion de J. Boussard, Gérard Louise a démontré que le Maine, plus précisément le Saosnois, serait en vérité le berceau familial.

Dès avant l'an 1000, la famille installe quelques-uns de ses membres sur la chaire épiscopale du Mans (Sigefroi et Avesgaud) et sur celle de Sées (Sigefroi II de Bellême et Yves de Sées). Certains évêques dépouillent leur évêché de quelques biens pour les donner à leur parentèle saosnoise. Au XIe siècle, les seigneurs de Bellême disposent ainsi d'un patrimoine important aux confins du duché de Normandie et du comté du Maine. Ils parviennent à constituer une principauté indépendante en menant une politique de bascule entre leurs puissants voisins (duc de Normandie, comte du Maine, comte de Blois, comte d'Anjou). Au début du XIe siècle, Guillaume Ier de Bellême combat Herbert Éveille-Chien, comte du Maine puis vers 1027-1028 se révolte contre le duc de Normandie, Robert le Magnifique.

Vers 1050, le mariage entre l'héritière de la seigneurie, Mabile et un proche fidèle de Guillaume le Conquérant, Roger II de Montgommery, assure une période de paix avec la Normandie. Mais cette situation n'exclut pas de nombreux accrochages avec les seigneurs voisins, en particulier les Giroie ou les comtes de Mortagne.


L'apogée de la famille sous Robert II de Bellême

Le successeur de Mabile, son fils Robert II de Bellême, poursuit la politique agressive de sa mère. Il construit plusieurs mottes pour s'assurer la maîtrise de la vaste seigneurie de Bellême. Au total, une quarantaine de châteaux, dont ceux d'Alençon et de Bellême, défend le territoire et forme un obstacle à toute tentative de soumission.

En 1099, après la mort de son frère, Robert hérite du comté de Shrewsbury. Le voilà possessionné en Angleterre sur les marches galloises. Quelques années plus tard, le père de sa femme, Guy, comte de Ponthieu meurt. Robert lui succède à la tête du comté. Fort de sa puissance, Robert se révolte à plusieurs reprises contre le roi d'Angleterre et le duc de Normandie. Il y perd finalement beaucoup. Henri Ier Beauclerc lui reprend le comté de Shrewsbury en 1102, puis devenu duc de Normandie, il arrête et emprisonne le turbulent vassal en 1112. La seigneurie de Bellême est confisquée.

La maison de Bellême n'est pas morte pour autant mais les descendants de Robert II, les comtes de Ponthieu, ne récupéreront jamais leur « capitale ». Tout au plus, le roi d'Angleterre leur concédera Alençon en 1119.


Une sinistre réputation

Les chroniqueurs de la Normandie ducale, Guillaume de Jumièges et Orderic Vital dépeignent plusieurs membres de la famille comme cruels et perfides. L'un des épisodes souvent rappelé pour justifier cette réputation est le sort réservé à Guillaume Giroie par Guillaume II Talvas, seigneur de Bellême : Guillaume Giroie, vassal de Guillaume II, est invité par ce dernier à son mariage. Il arrive à Alençon sans crainte mais les fidèles de Bellême l'emprisonnent et le mutilent. On lui crève les yeux, lui coupe les pans du nez et les oreilles. Même si Guillaume II était absent lors de ce drame (il chassait), il en était le commanditaire.

Orderic Vital rappelle à l'envi les morts douloureuses de plusieurs Bellême comme pour prouver que les mauvais chrétiens sont toujours sanctionnés : Robert Ier de Bellême est frappé à mort ; son frère Arnoul est étranglé dans son lit après avoir volé un porc ; Mabile de Bellême est décapitée ; Robert II de Bellême trépasse au terme d'une quinzaine d'années passées en prison.

Plus récemment, des historiens renchériront sur cette image noire en affublant d'épithètes évocatrices quelques membres : Guillaume II Talvas est surnommé le Cruel, Mabile de Bellême l'Empoisonneuse, Robert II de Bellême le Diable. Le surnom de Talvas provient selon Gérard Louise de talevassier qui signifie un guerrier pillard, dévastateur, vivant de rapines. La figure d'Yves de Bellême, évêque de Sées, est l'une des rares à bénéficier d'une bonne réputation.

Cependant, l'historien Lucien Musset prévient : « il serait injuste de ne juger cette famille qu'en s'appuyant sur les propos très partiaux d'Orderic Vital et de ne voir en ses représentants que des chefs de guerre, des constructeurs de châteaux-forts et des hommes cruels ». Dans un article, Musset souligne par exemple le rôle des Bellême dans la mise au « point de modalités administratives et judiciaires d'une réelle efficacité .

Source : Wikipédia
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeLun 13 Sep - 19:05

L'histoire de la méchante Mabile de Bellême

http://www.saosnois.com/belleme/mabile.htm
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeLun 13 Sep - 19:08

Les seigneurs de Bellême


La seigneurie de Bellême devient importante sous Guillaume Talvas, seigneur de Bellême et de Domfront († 1033), qui reconstruit le château et l’église et établit plusieurs places fortes alentour. Parmi ses fils, l’un est évêque de Sées, un autre, bâtard, évêque du Mans et le troisième, Guillaume II, lui succède. Le domaine des Bellême est une des rares seigneuries constituées d'un seul tenant dans une zone frontalière et pour cela, elle ne cessera de poser des problèmes aux ducs de Normandie. Dans les années 1045/1060 de violentes vendettas l'opposent aux familles voisines des Giroie et des Grentemesnil. Transmise par le mariage de Mabille, fille de Guillaume II Talvas, la seigneurie de Bellême passe à Roger de Montgomery, compagnon de Guillaume le Conquérant, auquel il confie la garde du duché auprès de Mathilde, en 1066, pendant l'invasion de l'Angleterre. Son fils Robert est fait sénéchal de Normandie (1089) mais s'emploie surtout à lutter pour conserver ses seigneuries en Normandie et en Angleterre pendant les conflits entre les héritiers de Guillaume le Conquérant. Robert passe pour un expert dans le domaine de l'architecture militaire. Il a construit notamment Gisors pour Guillaume le Roux (1097). Mais le seigneur de Bellême change souvent d'alliances au gré de ses intérêts. En 1106, il est à Tinchebray aux côtés de Robert Courteheuse. Sa seigneurie est finalement démantelée par le traité de Gisors (1113) entre le roi de France et Henri Ier Beauclerc.

source :

http://mondes-normands.caen.fr/france/.../biographie/Belleme.htm
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeLun 13 Sep - 19:17

Voici un lien qui peut intéresser nos amis du Canada

http://amis-du-perche.com/publications/liste_livres_ouvrages.htm
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeMer 15 Sep - 23:25

" Peu après , les chaussettiers et couturiers d'Argentan profitaient d'un voyage du couple ducal en cette ville pour solliciter un autre genre de service . Ils supplièrent les jeunes souverains de prendre en main la défense de leurs droits et privilèges contre l'importation étrangère.

Ici , bien des sociologues modernes trouveront peut-être à redire . Pour eux , une loi unique régit le travail , la loi de la libre concurrence : " Laissez faire, laissez passer ", disent-ils, tout ira bien. Les marchands d'Argentan entendaient autrement les choses. Ils prétendaient pourvoir seuls aux besoins de leur cité, et, des ouvriers des villes voisines étant venus s’installer en face d’eux , ils requirent le duc et la duchesse d’avoir à faire cesser cette concurrence. Cette requête était fondée sur une organisation dont les nations modernes ne veulent plus , mais dont vivaient celles du Moyen Age : l’organisation corporative. En ce temps-là, les corporations ouvrières étaient soumises à certaines règles , par exemple celle de la loyauté dans la qualité des produits -loyauté garantie par la surveillance des autorités publiques ; par exemple, encore celle de la modération des prix-prix qui étaient au besoin concertés avec ces mêmes autorités. En revanche, les corporations avaient droit qu’on écartât d’elles toute concurrence étrangère pouvant empêcher ou diminuer l’écoulement de leurs produits , c'est-à-dire au monopole.

Le duc et la duchesse d’Alençon en jugèrent ainsi . Des lettres patentes accordèrent pleine satisfaction à l’industrie argentanaise du vêtement. Elles ordonnèrent que personne ne fût reçu à faire ce métier , sinon qu’au préalable il eût fait serment en justice et confirmé la confrérie de Ste Barbe dans l’église St Germain.

C’est que la société d’alors s’estimait heureuse d’une législation qui mettait à l’abri des commerçants rapaces et protégeait en même temps les commerçants eux-mêmes contre les audaces malhonnêtes des mercantis étrangers.
Une telle organisation prévenait les crises sociales et les souffrances de la vie chère . L’objection qu’on y fait est que l’activité industrielle , non stimulée par la libre concurrence et par l’émulation , peut s’endormir au détriment du public et du progrès. Mais c’était à l’état et aux corporations elles-mêmes d’y veiller et d’y remédier. Or, si cette vigilance fit parfois défaut , elle s’exerça la plupart du temps d’une façon merveilleuse. Le « Chef-d’œuvre « exigé de tous ceux qui prétendaient devenir maîtres dans les jurandes , mit presque toujours à la tête des métiers de France les hommes les plus habiles et ceux-ci poussèrent notre art et notre industrie à des progrès que l’histoire célèbre avec orgueil. Ce qui nous reste de l’époque de Marguerite de Lorraine n’est certes pas fait pour démontrer le contraire.

Nous venons de surprendre notre bienheureuse en pleine question sociale. C’est là qu’elle se tissa une réputation d’indéfectible sagesse sur laquelle la morsure du temps n’a jamais eu de prise . La suite de cette histoire en fournira maintes preuves."


Et bien ...Vive les corporations !
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeJeu 16 Sep - 8:35

"La Maternité-Les appels divins ( 1489 )

"Les labeurs et les soucis de la vie domestique et du gouvernement n’empêchaient cependant pas notre illustre dame et son époux de remplir les autres devoirs de leur haute situation. Malgré le désir qu’ils avaient de demeurer parmi leurs sujets, ils se virent obligés , dès la seconde année de leur mariage , de se rendre à la Cour. Ce fut pendant le séjour qu’ils firent à Paris que la duchesse accoucha de son premier enfant ( 1 ) : un beau fils qui fust à grande joye reçu, écrit Juligny. Il naquit le 2 septembre 1489 , à 7h du matin , et fut tenu sur les fonds baptismaux par le roi Charles VIII en personne, accompagné de Jeanne de Bourbon –Vendôme, veuve de Jean II duc de Bourbon , anciennement connétable de France.
Le nom du souverain fut donné à l’enfant , qui s’appela Charles. A la cérémonie du baptême succédèrent de somptueuses réjouissances , pendant lesquelles , au milieu des félicitations qui lui venaient de toutes parts , la pieuse mère ne s’occupa qu’à élever son cœur au-dessus des honneurs de la terre et à offrir à Dieu son enfant.

A peine relevée de ses couches , elle songeait au retour , quand le roi et la régente Anne de Beaujeu l’invitèrent , elle et son mari, à les accompagner au château de Plessis Lès Tours, où se trouvait alors un des grands serviteurs de Dieu de cette époque. Je veux parler de St François de Paule.

( 1 ) Odolant Desnos dit que Charles IV naquit à Alençon. Toutes les histoires de Marguerite
rapportent au contraire que la duchesse fit ses couches pendant son séjour à Paris. Mais le parrainage du Roi semble bien justifier la naissance à Paris. "
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeJeu 16 Sep - 8:38

SAINT FRANÇOIS de PAULE
Fondateur de l'Ordre des Frères Minimes
(1416-1508)

http://www.magnificat.ca/cal/fran/04-02.htm
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeJeu 16 Sep - 8:42

Les amis de St François de Paule

http://www.cths.fr/an/societe.php?id=850
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeJeu 16 Sep - 8:45

Autre lien :

http://missel.free.fr/Sanctoral/04/02.php

La famille d'Ormesson est apparantée à ce saint.
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeJeu 16 Sep - 8:49

La Riche qui abrite le tombeau du saint

http://loire.valley.free.fr/fr/val_de_loire/la_riche.html

Comtesse Diane , c'est par chez vous...
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeJeu 16 Sep - 8:51

Plessis lès Tours

http://www.pierreval.com/references/PIV37A02/environnement.asp
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeJeu 16 Sep - 9:02

Anne de Beaujeu

http://charlesviiiroi.voila.net/page1/index.html
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeJeu 16 Sep - 14:23

Madame de Chimay a écrit:
La Riche qui abrite le tombeau du saint

http://loire.valley.free.fr/fr/val_de_loire/la_riche.html

Comtesse Diane , c'est par chez vous...

Oui ! Ça n'est pas loin du tout ! juste quelques 50 kms autant dire très voisin ! A découvrir toujours et encore ... Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 194575
je dirais même plus : c'est riche ! Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 721813

Si par ailleurs le boudoir voulait faire un petit tout à TOURS ... Bienvenue ! Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 580524 Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 405462
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeJeu 16 Sep - 15:08

Ah , Tours et le tombeau de St Martin, sa place Plumereau et son avenue Grammont...
Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 405462
Et aussi son homme de Tours : Léon Papin Dupont ( 1797-1876 )

http://nouvl.evangelisation.free.fr/leon_dupont_01.htm

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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeVen 17 Sep - 15:00

« La présence du saint enveloppait l’ancienne demeure royale d’une célébrité toute différente de celle que le ténébreux Louis XI lui avait jadis donnée. Tout le monde sait que ce prince avait obtenu du pape que le solitaire de la Calabre vint se fixer en France, auprès de lui. Le dessein non déguisé du roi avait été d’obtenir du grand thaumaturge, qui semait les miracles sur ses pas et qui remplissait l’Europe du bruit de ses prodiges, la guérison d’une maladie qui l’inquiétait fort. Le monarque, à l’arrivée du pieux vieillard, se jeta à genoux, afin qu’il luy plust allonger sa vie. Celui-ci répondit ce que saige homme devait répondre, dit Commines, que c’était l’affaire de Dieu, et le service qu’il rendit à l’auguste suppliant fut de lui prédire sa mort et de l’y préparer.

Les récits les plus merveilleux couraient de bouche à bouche sur la vie du saint . en route, le roi et la régente les racontèrent sans doute au duc et à la duchesse d’Alençon , disant de quelle vénération , ils continuaient à entourer eux-mêmes le vénérable anachorète. Ces récits éveillaient dans l’âme de notre jeune princesse , les sentiments de l’admiration la plus profonde. "


Fallait-il que Louis XI soit tellement obsédé et angoissé par l'idée de sa mort pour faire venir ce saint en France...


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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeVen 17 Sep - 15:06

Louis XI n'avait-il pas des choses à se reprocher vis à vis de Louis de Bourbon ?

http://perso.infonie.be/liege06/16seizef.htm
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeVen 17 Sep - 15:16

Voici un livre très intéressant écrit par un belge, en l'occurence le marquis OLivier de Trazegnies

Le lis et le sanglier : Louis de Bourbon et Guillaume de La Marck (1456-1492)
de
Olivier de Trazegnies
Les Editions de l'Arbre , 2008, 570 p . Compter environ une vingtaine d'euros

Résumé d'Amazone :

"Le Sanglier des Ardenner ! Si le terrible surnom de Guillaume de La Marck a traversé les siècles jusqu'à s'installer dans l'inconscient collectif, le personnage s'est voilé d'un nuage d'opacité.
Peu de documents subsistent sur 1'homme. On le présente comme un fauve, barbu, hirsute, vautré dans le sang de ses victimes. Il était pourtant bien plus que cela. Ce livre retrace l'histoire d'un cadet de famille qui veut égaler ses aînés, dans un Moyen Age étincelant. Le Sanglier et, à travers lui, les La Marck, vont dominer toute l'Ardenne, dont les villes phares de l'époque sont Liège et Sedan. Par les alliances qu'ils concluent avec Louis XI, ils vont jouer un rôle prépondérant à la Cour de France. Soutien indéfectible du roi, Guillaume de La Marck s'opposera violemment au duc de Bourgogne, allant même jusqu'à assassiner son neveu, Louis de Bourbon, le prince évêque de Liège dont les territoires indépendants et enclavés dans les leurs insupportaient les Bourguignons. "


Présentation de l'auteur

"Le marquis Olivier de Trazegnies est né en 1943. Juriste, économiste et passionné d'histoire, il œuvre depuis vingt-cinq ans à la protection du Patrimoine au sein de plusieurs associations européennes. Il habite dans une des dernières forteresses du XIIIème siècle : le château de Corroy le Château. Son ouvrage, le premier du genre, a été, écrit en collaboration avec le prince d'Arenberg, descendant direct de Guillaume de La Marck. "
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeVen 17 Sep - 15:21

Voici le lien sur le château de Trazegnies

http://www.chateaudetrazegnies.be
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeVen 17 Sep - 15:59

Guillaume de la Marck

http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_de_La_Marck
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeVen 17 Sep - 16:06

Histoire de Louis XI de
Charles Pinot Duclos
J. Neaulme, 1745-1746, 3 vol.


http://www.mediterranee-antique.info/Moyen_Age/Louis_11/L11_10.htm
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeMar 21 Sep - 16:57

"Ces sentiments ne firent que grandir quand elle vit la majestueuse figure de François de Paule et quand elle l’entendit parler devant le roi et les grands du royaume. Il y déployait une sagesse merveilleuse. Il semblait aux plus habiles, raconte Commines, « qu’il était inspiré de Dieu ès choses qu’il disoit et remonstroit lui qui n’était ni clerc ni lettré « . Comment Marguerite n’aurait-elle pas subi cet ascendant d’autorité ? Elle goûtait aussi et plus que tout autre, en demi provençale qu’elle était , le charme resté légendaire de sa langue italienne mais elle ressentit surtout l’influence qu’elle recherchait avant tout , l’influence de la vertu.

Le dessein de la providence divine en amenant François de Paule en France était d’y susciter un nouvel élan de sainteté. Sur ses traces et selon les principes de son ascétisme marchèrent plusieurs vertueux personnages, parmi lesquels Sainte Jeanne de Valois et notre bienheureuse. "


Ainsi donc deux saintes de la Famille royale de France sont issues de "l'école de St François de Paule ! "
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeMar 21 Sep - 23:22

"St François de Paule naquit à Paule , petite ville de Basse Calabre , au royaume de Naples. Après une vie de solitude qui dura cinq ou six ans, , il fonda avec les compagnons qui se joignirent à lui l’ordre des « Ermites de St François », qui fut approuvé par Sixte IV en 1473 et dont le nom fut changé en celui de minimes par Alexandre VI. La règle ajoute aux trois vœux ordinaires celui du carême perpétuel . Les mortifications du saint homme , qu’il pratiquait avec la même rigueur à 80 ans qu’à 35 ans , des miracles inouïs tant par leur nombre que par leur grandeur , lui concilièrent l’admiration universelle , non moins que la sagesse profonde que constatait Commines. Il mourut en 1507 à Plessis Lès Tours , dans le couvent que Charles VIII lui avait fait construire.


Notre bienheureuse , dès la première entrevue , se trouva saisie par le spectacle de cet homme extrêmement simple , dont on lui avait dit que chacune de ses paroles était une prophétie et chacune de ses actions un miracle. Il agissait sans affectation et sans étude , d’une manière aisée et tranquille , faisant naturellement les choses les plus surnaturelles . La duchesse d’Alençon ignorait alors que c’est le comble de la sainteté ; elle le comprit à la faveur des nombreuses visites qu’elle fit au saint homme. Charles VIII avait construit , dans le parc même du château , un lieu appelé Les Montils , un couvent pour les Minimes et leur fondateur ; ce couvent communiquait par une galerie avec le palais , de sorte qu’il était facile à la duchesse de s’échapper souvent auprès du pieux ermite. Leurs âmes s’ouvrirent et se reflétèrent . Marguerite demeura si touchée des sentiments d’humilité dont elle le voyait pénétré qu’ elle ne goûtait pas de plus grand plaisir que de l’entendre ; et c’est ainsi que de tous les grands de la Cour , y compris le roi et la reine, le disciple le plus fidèle de St François de Paule, fut Madame D’Alençon.

Au retour dans son duché , les entretiens spirituels de l’anachorète se présentèrent plus vivement à l’esprit de la princesse . »Résolue de se conduire suivant ses avis, elle mena dès lors une vie si pieuse et si régulière que tout Alençon en fut édifié. Elle savait désormais conserver au milieu du tumulte des cours la tranquillité des âmes vraiment chrétiennes . Son recueillement ne souffrait aucune altération , lorsqu’elle se trouvait dans le grand monde et la mort devenait , quand elle se retirait en son particulier , le sujet de ses réflexions , le jugement celui de sa crainte, et l’enfer celui de ses frayeurs « . ainsi parle un très vieil auteur.

De telles alarmes peuvent étonner ceux qui ne connaissent point les voies de Dieu. C’est pourtant la conduite ordinaire de la Providence sur les âmes appelées à une haute sainteté que de les traiter ainsi. Une vue très nette de leur indigence , de leur impuissance et de leurs péchés leur donne la conviction qu’elles ne sont rien , qu’elles ne valent rien , qu’elles sont dignes de tous les châtiments. Sur cette base solide et vraie de l’humilité , Dieu pose l’édifice de ses dons et de ses grâces. Que si les âmes sont exposées par tempérament ou situation à s’énorgueillir , d’un trait de lumière nouvelle il les ramènera de la vanité à la vérité, de l’orgueil à l’humilité. Par ces vues profondes sur son néant et sur les imperfections de sa vie antérieure , par les sentiments de componction que de telles lumières produisaient en son âme, Marguerite parcourait le premier stade de la vie mystique, celui que les théologiens appellent la voie purgative. L’âme en effet s’y détache du péché, de la terre et d’elle-même, en attendant les grâces de l’illumination et de l’élan vers Dieu, et les mystères de l’union divine. "
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeMar 21 Sep - 23:36

"Les grandes épreuves ( 1489-1492 )

"Dieu fait plus que d’exciter les grandes âmes à l’humilité : par la douleur, il les éprouve et, semblable à un sculpteur qui frappe un marbre de son ciseau , il parfait lui-même le travail purificateur . Marguerite était mûre pour ces heures bienfaisantes mais terribles. Son cœur de mère s’offrait à la douleur ; la douleur y entra toute vive. Quelques semaines , ou tout au plus quelques mois après la naissance de son petit Charles , cet enfant tomba gravement malade , et, en peu de jours , malgré tous les soins , il était désespéré des médecins.

La conduite de la duchesse au milieu d’une telle angoisse répondit entièrement au toucher divin. A la vue du petit être presque inanimé, une foi ardente la soulève. Elle ne pense plus qu’à implorer le secours de Dieu. Au duc atterré, elle propose un vœu et ensemble ils promettent de bâtir une chapelle à Saint Joseph, dans leur parc, et de fonder, si leur fils leur est rendu, six messes à dire chaque semaine à perpétuité : une en l’honneur de la Nativité du Sauveur, une en l’honneur de la Nativité de la Sainte Vierge, les autres en l’honneur de Notre Dame de Pitié, de St Joseph, de St Grégoire pape et de St Antoine de Padoue. Presque aussitôt le petit malade se trouva sensiblement mieux et, peu après, on le vit totalement guéri. Tous admirèrent cet élan de confiance et la promptitude du Seigneur à le récompenser. Dieu n’avait demandé à la bienheureuse , comme jadis à Abraham, que l’acceptation du sacrifice sans le sacrifice lui-même ; mais pourtant , toute familiarisée qu’elle fût avec la souffrance , Marguerite n’avait jamais senti si intimement ses pénétrantes acuités. Et ce n’était qu’ un commencement."
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeMer 22 Sep - 12:28

"Pour quelque temps cependant , le ciel se rasséréna. La duchesse en profita pour remettre toutes choses en ordre autour d’elle, soit dans son foyer , soit dans l’administration du duché, comme nous l’avons dit plus haut. Dans les trois ans qui suivirent , deux nouveaux enfants , deux filles , Françoise et Anne d’Alençon , apportèrent au manoir ducal des joies qu’aucun accident ne vint troubler . Françoise naquit en 1491, Anne en 1492. Tout souriait aux heureux époux , quand de nouveau le doigt de Dieu se fit sentir.

Cette fois, c’était le Calvaire qu’il allait falloir monter. Quelques jours après la naissance de la dernière de ses filles, dans le courant d’octobre 1492, René d’Alençon tomba malade. Aussitôt « notre pieuse princesse le servit avec toute la vigilance et toute l’assiduité que savent montrer les femmes aimantes en de telles occasions. Elle ne le quitta plus d’un moment « ; mais malgré ses soins , le mal empira tellement qu’en peu de jours, le duc se vit aux portes du tombeau . Le moribond ne se fit aucune illusion et les terreurs de la mort, les inquiétudes de conscience ne tardèrent pas à envahir son âme. Marguerite s’aperçut que son cher mari perdait sa tranquillité , nous dit un historien , et, le questionnant , elle le trouva tout préoccupé du mauvais état où étaient encore ses affaires . Débordante de courage et de foi , la sainte épouse ne songea alors qu’à le rassurer. Elle le pria de ne s’occuper que de lui , que de son âme, et lui promit devant Dieu de se charger de tout , d’acquitter tout et de plus d’achever toutes les œuvres de religion et de charité qu’il avait commencées . »La promesse d’une si chère compagne , continue l’auteur dont nous empruntons le récit , porta le calme dans l’esprit du prince et le mit en état de recevoir les derniers sacrements avec confiance « . Marguerite fit, en conséquence , appeler Bertrand de Marcilly , curé de St Germain du Corbéis , près d’Alençon , aumônier du prince , qui le confessa.

Sur ces entrefaites arrivèrent le cardinal de Luxembourg, évêque du Mans , ami intime de la famille , et Gilles de Laval, évêque de Séez , qui donnèrent les derniers sacrements. Devant eux , René tendant à sa femme sa main mourante, lui demanda de renouveler sa promesse. Elle le fit en fondant en larmes et en lui disant sa ferme volonté de « s’associer plus que jamais aux nobles desseins qu’il avait conçus pour la gloire de Dieu et le bonheur de ses peuples. Tous les historiens rapportent cette promesse de Marguerite ; mais les uns la placent dans un entretien particulier entre elle et le malade , les autres la rapportent comme faite devant les deux évêques. Nous croyons très vraisemblablement qu’elle eut lieu dans les deux circonstances. Peu après, le duc expirait dans la maison d’été du parc du château. C’était le jour de la Toussaint , 1er novembre 1492. Il avait 52 ans. "
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MessageSujet: Re: Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon   Marguerite de Lorraine, duchesse d'Alençon - Page 9 Icon_minitimeMer 22 Sep - 12:46

"On ne saurait souligner avec trop d’insistance le caractère édifiant d’une telle mort. Le souci de la justice primait tout , on le voit chez nos pères , et ce n’est qu’après l’avoir apaisé que leurs âmes se sentaient libres devant Dieu. Ils ne craignaient point après cela d’envisager la mort en face et de s’y préparer. Les familles ignoraient par ailleurs les réticences à la fois lâches et cruelles par lesquelles tant de prétendus chrétiens d’aujourd’hui cherchent à cacher aux mourants leur état. Pour se préparer au grand passage , il ne s’agit pas d’ignorer qu’il approche. L’entourage du duc d’Alençon et en particulier son épouse pourtant si tendre , ne s’attachèrent pas , on le voit , à le leurrer d’illusion.

Marguerite , après ces devoirs courageusement remplis , s’occupa de la préparation des funérailles. Elles se déployèrent avec magnificence, le 8 novembre à Notre Dame d’Alençon, , présidées par le cardinal de Luxembourg. L’évêque de Séez , qui s’était effacé devant ce prince de l’Eglise , l’assista , au dire de l’historiographe Baratte , entouré d’un clergé magnifique, de toute la noblesse du pays et d’un immense concours de peuple. Le corps soigneusement embaumé fut déposé dans un caveau situé au milieu du chœur de l’église , à l’endroit où s’élève actuellement le maître –autel.
Le cercueil où l’on enferma les restes de René portait cette inscription : CY GIST RENE DUC D’ALENCON , QUI DECEDA DANS SA MAISON DU PARC OU LA CHAPELLE EST EDIFIEE , LE JOUR ET FESTE DE LA TOUSSAINT,L’AN 1492 ET AVAIT D’AGE 52 ANS ,ALORS DE SON DECES . Le caveau de l’église Notre Dame et les tombeaux qui s’y trouvaient furent violés pendant la Révolution , sous prétexte d’y chercher du plomb. "
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