Ventes aux enchères

je suis surprise que ce magnifique objet que je connaissais bien, étant donné qu'en 1993 j'avais eu le plaisir de le remettre en valeur dans la vitrine des propriétaires descendants de Monsieur D'AUBIER !!!
la vente en Octobre avait fait un prix déjà surprenant !!!!!!! dès demain je consulte le Commissaire priseur pour connaitre la raison de cette revente si rapide !!!

MARIE ANTOINETTE

Mystère de la chaussure de la Reine - j'ai eu Maitre FRAYSSE ce jour, l'acquéreur d'octobre a bien acheté, réglé l'objet en temps et heure , et de son plein gré il souhaite remettre en piste ce souvenir du 10 Aout 1792 !!!

il n'est pas prouvé que le prix payé en 2012 atteigne la même somme ce 12 Juin ?????????????? il faut bien rêver ??????????carl'étude n'a pas fait
le battage publicitaire comme la première fois !!!!
j'attends le catalogue en fonction de son contenu !!!!

MARIE ANTOINETTE

Le coffre en laque du cardinal Mazarin fut adjugé 7 millions d'euros au Rijksmuseum d'Amsterdam.

... glups !

Comme tu dis.

Les coffres armoriés en vente le 27 Mai 2013 chez DE BAECQUE ont été vendus
pour celui aux armes de MARIE ANTOINETTE................32.000 euros
pour celui aux armes buchées de la Reine....................12.000 euros
pour celui aux armes de la Ière épouse du père
de LOUIS XVI............................................................ 8.000 euros
pour celui aux armes d'une MESDAMES TANTES........... 13.000 euros

Lors de la vente le coffre aux armes de Madame de PROVENCE n'a pas été vendu, mais acheté directement quelques jours après la vente au prix de départ 20/30.000 euros

l'entière collection a été achetée par une seule personne, un grand antiquaire parisien ????? et les enchères ont été modestes !!!!!

MARIE ANTOINETTE

hier, MERCREDI 12 JUIN 2013 je me suis déplacée à DROUOT pour tenter, de récupérer et sauver la fameuse mule du 10 Aout 1792 faisant l'objet d'une seconde vente après celle du 5 décembre 2012.

Après une attente de près de deux heures et un défilé d'orfèvrerie, j'ai signalé ma présence à MAITRE FRAYSSE, qui en lisant ma carte de visite, a fait l'annonce suivante qu'il avait déjà faite à 14 Heures

" le lot 223, la chaussure de MARIE ANTOINETTE a été retirée de la vente, car l'acheteuse américaine du 5 décembre, propriétaire de l'objet, a décidé de prendre livraison de son achat "  résultat ce souvenir si important pour notre histoire  partira bientôt vers LOS ANGELES !!!!!!

j'espère qu'elle sera mise en valeur et surtout respectée, car j'ignore si sa propriétaire s'intéresse à notre Chère Reine ou a fait une nouvelle fois un caprice de femme aisée !!!!!! espérant qu'elle changera encore d'avis et qu'il sera possible de sauver la chaussure de la Reine !!!!!

MARIE ANTOINETTE

Damned !!!

Espérons que ledit objet ne se trouve pas à Denver dans le Colorado. Les Pompiers n'arrivent pas à circonscrire le feu. C'est affreux comme tout brûle !

Je n'arriverais jamais à comprendre pourquoi ce genre d'objet n'est pas classé "trésor national", je parle du coffre et de la chaussure !

MARIE ANTOINETTE a écrit:

" le lot 223, la chaussure de MARIE ANTOINETTE a été retirée de la vente, car l'acheteuse américaine du 5 décembre, propriétaire de l'objet, a décidé de prendre livraison de son achat "  résultat ce souvenir si important pour notre histoire  partira bientôt vers LOS ANGELES !!!!!!

j'espère qu'elle sera mise en valeur et surtout respectée, car j'ignore si sa propriétaire s'intéresse à notre Chère Reine ou a fait une nouvelle fois un caprice de femme aisée !!!!!! espérant qu'elle changera encore d'avis et qu'il sera possible de sauver la chaussure de la Reine !!!!!

MARIE ANTOINETTE

 C'est peut-être bien la Sofia ...

Il aurait fallu qu'elle aime Marie-Antoinette...

Bien à vous.

d'après Maitre FRAYSSE c'est une riche" fofolle" capricieuse qui obtient de son mari tout ce qu'elle demande !!!
la première fois il a obtenu obéissance en demandant de remettre en vente l'objet   " car il ne voulait pas de cela chez lui !!!"
et elle a du l'emmmm!!! jusqu'à  qu'il revienne sur sa décision

mais la bataille n'est pas finie !!!! alors souhaitons que la Reine intervienne énergiquement dans l'intérêt de notre patrimoine !!!!! la chaussure est toujours sur le territoire du royaume de FRANCE !!!!
il faut qu'elle fasse le nécessaire sinon au prochain vide-grenier je mets mes collections sur une table de vente !!!!
(ne pas croire en mes délires !!!!)

MARIE ANTOINETTE

Chère Reine ,

De là haut, faîtes-nous un petit coup de pouce pour que l'objet reste en France . Et renvoyez cette personne américaine dans son foyer .

Info de la Gazette de Drouot : le coffre de Mazarin a fait 7.300.000 EUR à la vente Rouillac (enchère la plus haute de l'année).
C'est un musée néerlandais qui l'a emporté (Rijksmuseum d'Amsterdam), contre le Metropolitan Museum.
Ironie de l'histoire : Mazarin avait lui-même acheté ce coffre aux enchères à Amsterdam en 1658 . La pièce était d'une valeur telle que le cardinal avait affrété un navire de guerre pour la rapporter en France.

En vente le 24 juin chez Artemisia, ce magnifique portrait de Richelieu, faisant fuir des bêtes féroces (lion, serpent...).

En vente le 26 juin chez Cornette de Saint-Cyr, ce portrait de la duchesse de Saulx-Tavannes, dame du Palais de Marie-Antoinette.



Ecole FRANCAISE vers 1760, entourage de Marianne LOIR
Portrait de Marie Eléonore Eugénie de Lévis Châteaumorand, duchesse de Saulx –Tavannes, mariée en 1759, en bergère
Pastel
54 x 44 cm
Porte une inscription au dos … Marie Eléonore Eugénie de Lévis Châteaumorand, duchesse de Saulx –Tavannes, mariée en 1759, Dame du Palais de la / reine Marie Antoinette
Porte une ancienne étiquette au dos n°12
Marie Eléonore Eugénie de Lévis Châteaumorand est née en 1739 . Elle mourut vers 1793.
En 1759, elle épousa Casimir, duc de Saulx Tavannes, dont elle se sépara en 1772.
Elle occupa la charge de Dame de palais auprès de la reine Marie-Antoinette.

Je suis bien aise que le coffre soit retourné vers les Pays-Bas. Au moins, il reste en Europe.

Intéressant tous ces objets.
Je viens de trouver un objet agréable, peut être en avez vous déjà vus, ou avez plus d'informations. C'est présenté comme un étui à tablette ou un carnet de bal. J’avoue être curieux pour le simple plaisir d'en apprendre plus, comme bien souvent

http://www.ebay.fr/itm/ETUI-BOITE-XVIIIe-18e-ANTIQUE-FRENCH-CASE-18th-C-LOUIS-XVI-MARIE-ANTOINETTE-/400511564133?pt=FR_JG_Art_Objets_XIX&hash=item5d40597965

Ça ressemble à des étuis de nécessaire de couture, d'ailleurs les fentes de l'objet ouvert semblent indiquer que ce n'étaient pas des cartes mais bien des accessoires qu'il logeait

Bien à vous.

C'est bien ce que je me disais, merci

Citation :

Une idée de l’enchère?

Non malheureusement .

Il me semble que ce portrait-ci, fort beau au demeurant, doit être beaucoup plus ressemblant à son modèle que les tableaux idéalisés de Mme Lebrun.





Ecole FRANCAISE du XVIIIème, Portrait de Marie-Antoinette, huile sur toile. 73 x 60 cm. (restauration et rentoilage)

Il est une parfaite synthèse de l'iconographie  ( trop variée pour être très fiable )  de Marie-Antoinette .

Beau portrait !

A l’occasion de cette vente, était proposée également une sculpture que nous avions présentée dans le Boudoir, du moins dans sa variante en biscuit si ma mémoire est bonne...




Attribué à Louis-Simon BOIZOT (Paris, 1743 – Paris, 1809)
Portrait de Madame Royale (1778-1851)
Groupe en marbre
Haut. : 50 cm ; Larg. base : 24 cm.

Estimation : 20 000 - 25 000 euros

Note de l’expert :

Oeuvre en rapport :
-L'enfant aux coussins. Groupe en biscuit de Sèvres ---- Versailles, musée national du château, inv. : MV 9149

De 1715 à 1789, Les portraits d'enfants dérivent pour une part de la tradition du grand siècle, à laquelle s'ajoute le réalisme pénétrant d'une époque raffinée puis une sensibilité attachée à rendre ces portraits sans atours et sans prétexte de genre, faits pour un cercle intime et familial, avec parfois un sentimentalisme à la Jean-Jacques Rousseau. C'est le cas de ce groupe représentant Marie-Thérèse de France née le 9 décembre 1778, appelée Madame royale, ou encore « Mousseline » par sa mère la reine Marie-Antoinette.
Bla, bla, bla...

Directeur des ateliers de sculpture à la manufacture royale de Sèvres en 1773, Boizot donne les modèles de plus de 150 bustes, statuettes et groupes en biscuit qui expriment de manière significative les goûts et les modes sous le règne de Louis XVI. Parmi eux figure un groupe représentant Madame Royale et le Dauphin jouant sur un carreau en 1782-1783 ainsi que celui représentant Madame Royale intitulé plus tard « L'enfant aux coussins », dont une version a récemment été acquise par le château de Versailles.

Ce dernier biscuit renvoie à ce beau marbre inédit qui, tout en gardant la même composition, présente quelques différences. Alors que sur le biscuit, la jeune enfant repose sur deux coussins, ici, elle est assise sur une base rocaille couverte d'un voile qu'elle agrippe à la main. Familier de la famille royale, Boizot a déjà fait le portrait de Marie-Antoinette à deux reprises, en 1774 et 1775. Ils durent satisfaire la reine puisqu'elle lui commande en 1777 deux autres bustes en marbre conservés à Versailles, celui de son frère Joseph II et celui de Louis XVI, auxquels s'ajoute un autre portrait de la reine pour le ministère des Affaires étrangères en 1781 (Paris, musée du Louvre, Inv. : R.F. 4515).
Bien que non signé comme le buste de la reine du musée du Louvre, c'est probablement à lui que revient l'exécution de ce groupe réunissant virtuosité technique, maîtrise de la gestuelle et justesse de l'expression.

Elle joue avec son petit pied . Quelle attitude adorable !